Premier jour
12h30. La porte du car s'ouvre sur la gare routière de Koszalin. 24h de bus pour arriver ici. J'allume mon téléphone portable, bientôt en rade de batterie. Après deux minutes d'attentes : je capte !!! J'appelle L.K., mon maitre de stage en essayant de lui indiquer ou je suis. Heureusement, une sympatique bonne femme du bus m'aide dans cette quette pour prononcer correctement en polonais le nom de la gare (qui est en fait routière et ferroviaire). Un étudiant va venir me cherche, j'explique que je porte une jean et un t-shirt bleu clair avec une frosse valise bleue marine et que j'attendrait devant les guichets de la gare. Plus d'une demi-heure plus tard, deux gus s'ammène en regardant une peur n'importe où n'importe comment. Ils tiennent à la main un papier qui ressemble de loin à mon CV. Hourra !!!! Sauvé. Je ne suis plus perdu dans ce pays dont je ne sais même pas comment on prononce les lettres. L'un d'eux s'appelle Tomache, l'autre je ne le reverrai pas. Ils m'expliquent que l'on va aller à la résidence étudiante, puis on passera à l'université. Je monte dans la voiture sur la banquette arrière, serré par mon volumineux bagage gisant à côté de moi. Cela n'a pas été simple de le faire rentrer dans une voiture aussi petite. J'apprendrais plus tard une blague à propos de ces vielles petites voitures qui se promènent en Pologne que ce sont les voitures les plus silencieuses au monde car on a les genoux sur les oreilles ! Le voyage se fait non sans mal, chahuté par les bosses et la mauvaise suspension, mais bon ne critiquons pas, je veux arriver en vie. Tomache m'aida donc dans toute la procédure administrative pour pouvoir loger dans la résidence étudiante (3 papiers à remplir), à dire 308.3 en Polonais et à m'installer dans ma chambre. Nous sommes ensuite allé à l'université (PK _ Poloteknika Koszalin) et j'ai découvert mon maitre de stage : un bonhomme quinquagénaire à l'air fort sympatique et parlant correctement le français.
Tomache m'a ensuite fait découvrir la ville, fais acheté une carte, bouffé un toast super bon (pour la modique somme de 2,5 zlotis)... Pour le remercier, je l'ai invité à prendre une bière sur une terrasse et se reposer un peu de toute cette marche. On a même discuté avec deux polonaises, dont l'une était à croquer.
Nous sommes aussi allés faire les courses dans une superette.
Enfin, nous sommes rentré à la résidence où nous avons échangé nos numéro de tel en cas de prob et il m'a présenté à quelques uns de ces camarades de classe pour pas que je me sente perdu dans la résidence.
La soirée fut tranquille.
BlueDog...
1 Comments:
totalement d'accord avec andré. PUTAIN QUAND EST CE QU'IL Y AURA DES PHOTOS DE POLONAISES !!!!!!
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